Le Fils de l’homme dans le nuage

Le repas de noce de l’Agneau

 


Voici venir des jours oracle du Seigneur Yahvé où j'enverrai une famine sur la terre, non pas une faim de pain, non pas une soif d'eau, mais d'entendre les paroles de Yahvé. On errera d'une mer à l'autre et du nord au levant, on courra par monts et par vaux pour chercher la parole de Yahvé, et on ne la trouvera pas !



La Bible à 73 livres est comparable à un puzzle dont les 1000 pièces sont mélangées. Bien sûr, ce livre que Dieu tient dans sa main droite et que seul l’Agneau pouvait ouvrir et lire était scellé par l’éducation que le Faux prophète impose à tous ; pourtant, alors qu’il est maintenant ouvert, Dieu en réserve encore l’accès à ses seuls élus en envoyant à ceux qui se perdent parce qu’ils n'ont pas accueilli l'amour de la vérité en vue d'être sauvés, une puissance d’égarement qui les fait croire au mensonge, pour que soient condamnés tous ceux qui n’ont pas cru en la Vérité mais ont pris parti pour le Mal.



Bien que Dieu soit amour, il est évident qu’il n’a pas que des amis… Quand Jésus commandait d’aimer ses ennemis, il parlait des hommes entre eux, se plaçant sur un plan horizontal, mais quand il se heurtait à des religieux qui s’opposaient à sa proclamation du règne de Dieu, c’est-à-dire aux ennemis de Dieu, il les injuriait, les traitant de serpents et d’engeance de vipère, se plaçant alors dans la verticalité transcendantale. Ainsi Dieu fait-il une exception pour ceux qui l’empêchent de sauver ses élus : ceux-là n’entreront pas dans son repos car il va délibérément les égarer.



C’est ainsi que Jésus dit à ceux qui lui font confiance : À vous a été donné le mystère du royaume de Dieu, mais pour CEUX DU DEHORS tout devient énigme. Et d’expliquer par ailleurs : Voilà pourquoi je leur parle en paraboles, parce que voyant ils ne voient pas, et qu’entendant ils n’entendent ni ne comprennent. Ainsi s’accomplit pour eux cette prophétie d’Isaïe : Vous entendrez de vos oreilles et ne comprendrez pas ; regardant, vous regarderez et ne verrez pas. Car le cœur de ces gens s’est épaissi, ils sont devenus durs d’oreille et ont fermé les yeux, de peur qu’ils ne voient de leurs yeux, n’entendent de leurs oreilles, ne comprennent avec leur cœur et ne se convertissent… ET JE LES AURAIS GUÉRIS !



Maintenant que le règne de Dieu est fini depuis plus de mille ans et que la Trinité infernale règne sans partage sur les âmes, les privant de toute vraie nourriture spirituelle, existe-t-il encore un endroit où elles peuvent assouvir leur faim ? L’homme ne vivant pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu, où peut-il se restaurer en ce temps de grande détresse ? L’un des anges de l’Apocalypse répond à cette question : Heureux ceux qui sont appelés au repas de noce de l’Agneau ! – Et il ajoute : Ce sont les paroles mêmes de Dieu. Par conséquent, si vous entendez cet appel et voulez être élu, ne cherchez plus : vous êtes au bon endroit. Cette page étant en quelque sorte un rappel publicitaire, puisque ce repas où l’on ne sert que la vraie parole de Dieu a commencé dès le début du troisième millénaire. Mais le mépris dont il est l’objet s’est déjà vu, Jésus lui ayant consacré la parabole suivante :


Le royaume des Cieux ressemble à un roi qui fit des noces pour son fils. Il envoya ses esclaves convier aux noces ceux qui étaient invités, mais ils ne voulurent pas venir. De nouveau il envoya d’autres esclaves, en disant : Dites aux invités : Voici que j’ai apprêté mon banquet ; mes taureaux et mes bêtes grasses sont égorgés, et tout est prêt : venez aux noces. Mais eux, sans en tenir compte, s’en allèrent, qui à son champ, qui à son commerce. Les autres, saisissant ses esclaves, les outragèrent et les tuèrent.


Le roi fut pris de colère et, envoyant ses troupes, il fit périr ces meurtriers et incendia leur ville. Alors il dit à ses esclaves : La noce est prête, mais les invités n’étaient pas dignes. Rendez-vous donc aux issues des chemins, et tous ceux que vous trouverez, invitez-les aux noces. Étant sortis sur les chemins, ces esclaves rassemblèrent tous ceux qu’ils trouvèrent, mauvais et bons ; et la salle de noce fut remplie de convives.


Étant entré pour observer les convives, le roi vit là un homme qui n’avait pas revêtu un vêtement de noce. Il lui dit : Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un vêtement de noce ? Celui-ci resta sans voix. Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui pieds et mains et jetez-le dans la ténèbre du dehors ; là seront les sanglots et les grincements de dents. Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus.



Les jours de famine sont terminés. S’il vous a été donné de comprendre le mystère du royaume de Dieu, vous vous rassasierez ici de la parole de Yahvé que ceux du dehors cherchent ailleurs, égarés par leurs inventions hérétiques et idolâtriques, méprisant la lecture du Livre ouvert que je leur fais, refusant de voir, d’entendre et d’assimiler les paroles que je leur présente, confirmant ainsi qu’il y a toujours des invités qui ne sont pas dignes : rien de nouveau sous le soleil !

Vitrail : L’Agneau couché sur le livre aux 7 sceaux.

L’Agneau couché sur le livre aux 7 sceaux.

Références des citations

(Les citations strictes sont en bleu, les notes et commentaires sont en vert)