Le Fils de l’homme dans le nuage

Le signe de Dalmanoutha

 


Emportés par leurs divagations scientifiques déconnectées de la Réalité, les intellectuels et raisonneurs de ce temps ne suivent pas le cours de l’Histoire prévu par la Bible, mais un cours déviant où l’avenir est par définition inconnu et incertain. L’espoir faisant vivre, ils lancent toutes sortes de projets d’avenir. Par exemple, imaginant avoir identifié les causes du dérèglement climatique et, partant, les moyens d’y remédier, ils tentent dans l’urgence de changer leur mode de vie. S’ils prenaient en considération la véritable origine de ce dérèglement, à savoir la requête des Pharisiens faite à Jésus à Dalmanoutha, ils appréhenderaient correctement la situation, mais ils ne veulent pas de cette explication, la considérant incongrue, non scientifique, totalement folle, fruit d’un esprit dérangé. Ce en quoi ils n’ont pas tout à fait tort, puisqu’à la suite de Paul, je le dis et le répète ici : Que nul ne s’abuse ! Si quelqu’un parmi vous pense être sage à la manière de ce monde, qu’il devienne fou pour devenir sage ; car LA SAGESSE DE CE MONDE EST UNE FOLIE DEVANT DIEU.



Il est en effet écrit : Je perdrai la sagesse des sages, et l'intelligence des intelligents, je la rejetterai. Où est-il, le sage ? Où est-il, l'homme cultivé ? Où est-il, le raisonneur de ce temps ? Dieu n'a-t-il pas frappé de folie la sagesse du monde ? En remplaçant l’Écriture par leur culture inventée, les intellectuels et les raisonneurs de ce monde ont fait perdre à tous le contact avec la Réalité. Voulez-vous revenir à la Réalité ? Considérez cette phrase de Jésus : Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. Que veut dire Jésus ? Que l’univers n’est pas réel, contrairement à son enseignement, lequel n’est autre que celui de Dieu, puisqu’il le dit par ailleurs : Mon enseignement n’est pas de moi, mais de Celui qui m’a envoyé. Or Dieu seul est réel



Ceci étant posé, je puis alors vous confirmer les événements de la Fin, c’est-à-dire le proche avenir, et réaliser cette autre parole de Jésus : Il vous annoncera ce qui doit venir. À l’aube du XXIe siècle (janvier 2001), quand j’ai commencé à écrire et publier “Le Signe du Fils de l’homme” sur le site du Ciel, j’annonçais ce qui allait venir, mais au fur et à mesure que je brisais les sept sceaux qui scellaient le livre que Dieu tient dans sa dextre, le futur s’est fait présent et pressant : le Signe du Fils de l’homme a paru dans le ciel et de COP en COP toutes les tribus de la terre se sont frappées la poitrine. Nul ne peut plus ignorer que les nations sont dans l’angoisse, inquiètes du fracas de la mer et de son agitation, et que les hommes expirent de peur dans l’attente de ce qui menace le monde habité parce que les puissances des cieux sont ébranlées conformément aux prédictions d’il y a deux mille ans, c’est-à-dire à la véritable Histoire, prévisible car prévue et inévitable. Croyez-vous que je parle de moi-même ? Je ne fais que redire ce que j’ai entendu, et chacun peut le lire dans le livre dorénavant ouvert à tous grâce à mes publications.



Les exégètes s’interrogeaient sur ce que pourrait bien être ce mystérieux signe du Fils de l’homme dont parle Matthieu : une croix dans le ciel, par exemple ? C’est finalement bien moins fantastique : il suffit de superposer comme des calques les apocalypses de Matthieu et de Luc pour se rendre compte qu’il s’agit du dérèglement climatique, lequel angoisse à juste titre toutes les nations ! Pour le mettre à l’épreuve, des scribes, des Pharisiens ou des Sadducéens demandent à Jésus un signe venu du ciel, mais celui-ci leur répond que leur génération N’aura QUE le signe de Jonas, lequel ne vient pas du ciel, mais plutôt du cœur de la terre. Comme le dit Luc : Tout comme Jonas devint un signe pour les Ninivites, ainsi le Fils de l’homme en sera un pour cette génération. Et il en fut bien ainsi au début du premier millénaire de l’ère chrétienne, autrement dit du Règne de mille ans.



Aujourd’hui, pour ce qui est du signe venu du ciel, Marc raconte que Jésus, montant dans le bateau avec ses disciples, vint dans la région de Dalmanoutha. Et sortirent les Pharisiens, qui se mirent à discuter avec lui, lui demandant un signe venu du ciel, pour le mettre à l’épreuve. Et, poussant en son esprit un profond gémissement, il dit : « Pourquoi cette génération-là réclame-t-elle un signe ? En vérité je vous le dis : il ne sera pas donné de signe à cette génération-là. » Le signe venu du ciel, tant réclamé, viendra en effet sur une autre génération, lorsque les conditions de son apparition seront remplies. Dans les Évangiles, il n’y a qu’un signe dans le ciel qui réponde à la requête des Pharisiens : celui du Fils de l’homme mentionné par Matthieu, signe qui paraîtra quand les corps de tous ceux qui sont dans les tombeaux c’est-à-dire de tous ceux qui n’ont pas participé à la première résurrection auront été ressuscités en vue du Jugement dernier. Les liens entre tous ces événements apparaissent quand on fusionne les prophéties des Évangiles et de l’Apocalypse.



Conclusion : Où est-il, le sage ? Est-ce l’homo sapiens qui se demande pourquoi le ciel lui tombe sur la tête, ou celui qui reconnaît le Signe du Fils de l’homme dans le ciel ?

Références des citations

(Les citations strictes sont en bleu, les notes et commentaires sont en vert)